De sa création à nos jours …
Sous l’impulsion de D. Marie-Albert, abbé d’Orval, qui désirait répondre aux pressants appels de Pie XI demandant prière et réparation dans le « Miserentissimus Deus » de 1928, puis le « Caritate Christi compulsi » de 1932, quelques jeunes filles se rassemblèrent en « Pieuse Union ».
Le 29 août 1931, Monseigneur Heylen, évêque de Namur, en approuve les Statuts.
Le 29 août 1931, Monseigneur Heylen, évêque de Namur, en approuve les Statuts.
Les 5 premières jeunes filles sont alors installées à Sorée dans le diocèse de Namur le 30 janvier 1934. Une propriété leur est offerte, celle-ci deviendra le premier prieuré de la future congrégation.
Un second prieuré sera aussi fondé à Saint Gérard, toujours dans le diocèse de Namur.
Un second prieuré sera aussi fondé à Saint Gérard, toujours dans le diocèse de Namur.
Le 16 juillet, un décret érige la ‘Pieuse Union’ en « Société des Bernardines Réparatrices » et le lendemain, le Saint Sacrement est déposé dans le tabernacle de Sorée.
Le 16 mai 1936, le premier projet de Constitutions est approuvé et le 29 juin, Mgr Heylen signe le décret d’érection de la société en institut de droit diocésain. Il présidera le 16 juillet de la même année la cérémonie d’érection canonique et recevra les vœux temporaires de 4 religieuses.
C’est le 15 mars 1939 que les religieuses reçoivent une lettre de la Congrégation des Rites les invitant à suivre le calendrier cistercien, à réciter le bréviaire cistercien et à suivre le missel cistercien.
Le 29 décembre 1940, les Constitutions des Cisterciennes sont définitivement approuvées telles qu’elles l’avaient été par le Saint Siège le 18 juillet 1933, avec les modifications qu’y ont apportées les divers chapitres généraux des cisterciens. Les Bernardines Réparatrices suivent aussi les us cisterciennes.
Le 2 février 1941, les voeux perpétuels des 7 premières Bernardines sont prononcés et Mère Julienne Angenot est nommée abbesse. Elle sera encore élue en 1947 et 1953.
Le 16 mai 1936, le premier projet de Constitutions est approuvé et le 29 juin, Mgr Heylen signe le décret d’érection de la société en institut de droit diocésain. Il présidera le 16 juillet de la même année la cérémonie d’érection canonique et recevra les vœux temporaires de 4 religieuses.
C’est le 15 mars 1939 que les religieuses reçoivent une lettre de la Congrégation des Rites les invitant à suivre le calendrier cistercien, à réciter le bréviaire cistercien et à suivre le missel cistercien.
Le 29 décembre 1940, les Constitutions des Cisterciennes sont définitivement approuvées telles qu’elles l’avaient été par le Saint Siège le 18 juillet 1933, avec les modifications qu’y ont apportées les divers chapitres généraux des cisterciens. Les Bernardines Réparatrices suivent aussi les us cisterciennes.
Le 2 février 1941, les voeux perpétuels des 7 premières Bernardines sont prononcés et Mère Julienne Angenot est nommée abbesse. Elle sera encore élue en 1947 et 1953.
En 1959, Mère Alix Streicher est élue abbesse à son tour et son abbatiat durera 27 ans.
Quelques années plus tard, le prieuré de Sorée est transféré à Brialmont-Tilff dans le diocèse de Liège, le 5 août 1961. L’endroit est une propriété offerte par la famille d’une des sœurs de la communauté et Monseigneur van Zuylen, alors évêque de Liège, lui confère le titre d’abbaye.
Quelques années plus tard, le prieuré de Sorée est transféré à Brialmont-Tilff dans le diocèse de Liège, le 5 août 1961. L’endroit est une propriété offerte par la famille d’une des sœurs de la communauté et Monseigneur van Zuylen, alors évêque de Liège, lui confère le titre d’abbaye.
Répondant à leur demande d’intégration à l’Ordre Cistercien de la Stricte Observance que leur adressait la Congrégation des Bernardines Réparatrices le 19 septembre 1975, les RR. MM. abbesses cisterciennes réunies en chapitre général approuvèrent leur demande à l’unanimité des voix. Cette décision sera ratifiée par un indult de la S. C. des Religieux le 16 décembre 1975.
Les 30 religieuses de la communauté émettent alors leurs vœux solennels le 24 février 1976, en présence de Mgr van Zuylen, évêque de Liège, du R.P.D. Ambrose, abbé général, du R.P.D. Etienne Gillard, abbé d’Orval, et d’autres personnalités.
La communauté du prieuré St Gérard rejoint Brialmont le 6 décembre 1976, le prieuré ayant trouvé un acquéreur.
L’église de Brialmont est dédicacée le 21 mars 1981.
Lors de son voyage en Belgique en 1985, le Pape Jean-Paul II effectue une visite privée à l’abbaye.
Mère Colette Grévisse est élue Mère Abbesse le 27 octobre 1986.
Actuellement, M. Marie-Pascale Dran est abbesse, depuis l’élection du 26 octobre 2007. la bénédiction abbatiale lui a été conférée par Monseigneur Aloys Jousten, évêque de Liège, le 21 novembre 2007.